Ce train de nuit n’est pas comme les autres. C’est un lieu sordide et risqué pour les femmes qui voyagent seules. Elles s’exposent aux abus sexuels de la part d’hommes qui se trouvent dans ce train juste pour trouver des proies esseulées et sans défense. Certaines de ces femmes prennent ce transport par obligation mais d’autres y ressentent du plaisir à se faire harceler par des mâles en rut.
La première victime est une étudiante en uniforme scolaire. Elle lit un livre sur une banquette sans se douter qu’un prédateur la scrute des yeux. L’homme est un vagabond alcoolisé à l’allure vulgaire. C’est sans hésiter qu’il passe sa main dans le soutien-gorge de la fille avant d’insérer ses doigts dans sa chatte. Il place ensuite sa bite contre ses lèvres pour la forcer à sucer son chibre.
Le cheminot en charge du train semble être au courant des abus qui s’y déroulent. Il se remémore alors une autre ligne dans laquelle se passaient des faits semblables au vu et su de tout le monde. Les passagers masculins profitaient que le train soit bondé de monde pour caresser les parties intimes des femmes. Et cela débouchait parfois sur des relations sexuelles dans des parties cachées du train.
Les journaux ont rendu public la réputation sordide de ce train et cela risque de couler la compagnie ferroviaire. Les cheminots réfléchissent alors à des solutions pour ne pas perdre leur emploi. Ils décident de créer un train de nuit où les gens pourront réaliser leurs fantasmes sexuels dans le but d’attirer le plus grand nombre de voyageurs.