L’épisode 3 de la série porno hentai Mikagura Tanteidan se déroule pendant l’ère Taisho au Japon qui correspond à la période entre 1912 et 1926. La vidéo débute dans un manoir où une jeune femme est soumise à un rituel sexuel. Elle est retrouvée morte le lendemain avec une inscription intrigante sur le ventre. Il semblerait aussi que le vagin de cette fille ait été empalé par une flèche. Le directeur d’une célèbre agence de détectives Mikagura Tokito envoie trois inspectrices (Chizuru, Tomoe et Shigeno) pour enquêter sur ce crime. Elles ont déjà une idée du nom du meurtrier. Il s’agirait d’un homme se faisant appeler Tokiwa Shogo.
Un nouveau crime sexuel va avoir lieu dans les mêmes circonstances. Il s’agît de Akane, une jeune domestique qui est une connaissance des trois détectives de l’agence Mikagura. La fille est découverte nue dans un terrain vague avec une inscription identique sur le ventre. Tomoe est bouleversée et elle jure de retrouver les meurtriers. Le coupable est cependant rapidement arrêté par un policier. Le nom de cet homme est Gonzo et il affirme que c’est Dieu qui lui a demandé de faire ça.
Les trois femmes détectives doutent que Gonzo soit réellement l’auteur des crimes. Elles pensent qu’il y a une autre personne qui se cache derrière ce mystère. Elles décident de lui tendre un piège en se servant d’un appât qui sera l’une des filles. Chizuru se promènera seule dans les environs des lieux des crimes pendant que les deux autres la surveilleront cachées derrière des arbres. Le piège tendu ne se passe pas comme prévu et des hommes parviennent à enlever Chizuru. Ses amies doivent maintenant la retrouver car elle court un grand danger.
En effet, Chizuru est retenue dans un endroit sordide. Un homme masqué va profiter de la détective en lui arrachant son kimono pour lécher les tétons de ses gros seins. Malgré les cris, personne ne lui vient en aide pendant que l’homme la baise à grands coups de bite. Nous vous laissons découvrir la suite de l’histoire de ce porno hentai passionnant pour son intrigue.
